Original research articles

Identification des dérives terpéniques dans les raisins de certaines variétés de Vitis vinifera ; I- Techniques expérimentales

Abstract

AUSTERWEIL (1946) a émis le premier l'hypothèse que l'arôme de muscat serait dû au linalol ou à ses dérivés.

Dans un travail fondamental resté classique, CORDONNIER (1956) montre que les extraits par l'éther de pétrole d'un vin de muscat présentent' des taches dont les Rf et les réactions colorées avec l'acide sulfurique concentré laissent supposer la présence de limonène, de linalol, de géraniol et d'α-terpinéol dans la composition de l'arôme de ce type de vin. BAYONOVE et CORDONNIER (1970 a et b) confirment la présence du linalol dans différents Muscats : Alexandrie, Hambourg, Frontignan, Fleur d'Oranger, Ottonel, Reine des Vignes ; ils montrent également l'absence de ce corps, tout au moins en quantité notable, dans le Cabernet-Sauvignon, le Merlot, le Syrah, le Piquepoul et le Chasselas.

Authors


A. TERRIER

editorialsecretary@oeno-one.eu

Affiliation : Institut d'Œnologie, Université de Bordeaux II

Country : France


J.N. BOIDRON

Affiliation : Institut d'Œnologie, Université de Bordeaux II

Country : France

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